Tenir un site, ce serait un peu comme un restaurant. Il faut que le passant ait l’envie de s’arrêter, de regarder le menu, s’installer, goûter autre chose que le plat principal.
La cuisine doit être bonne, pas trop lourde, avec de bons ingrédients… on doit inciter le passant à revenir et espérer que le « bouche à oreille » fera son effet !
En façade, comme en cuisine, des nouveautés !
J’ai commencé à importer ici des textes venus d’autres sites. Il faut nettoyer, balayer, mettre en ligne… J’ai de quoi alimenter pas mal de pages.
Une nouvelle page d’accueil
Vous êtes encore plus de 60% à lire ce site sur un ordinateur. D’autres utilisent leur smartphone… personne la tablette ces jours-ci ?
J’ai travaillé à la mise à neuf de cette page d’accueil, qui bougera encore : il faut qu’elle soit claire, légère, vous donne envie de cliquer plus loin...
Je déteste mettre ma tête, il paraît qu’il le faut…
Rapide, fluide et performant…
Il y a des règles de mise en page, des quantités de texte à écrire pour que Google vous référence correctement.
Là dessus, « j’ai bon » aux tests techniques et même 100 % de réussite aux tests de GTMetrix…
Mais pas facile de donner la visibilité à la singularité
Car au fond ce qui compte, c’est le contenu et toute la singularité de ce site Calembredaine.com c’est de proposer aux visiteuses et visiteurs, non pas des réponses à des questions qu’elle ou il se poserait avant de venir, mais de lui proposer de l’inattendu, quelque chose pour exciter assez sa curiosité…
Au fond, mon but serait atteint, si quelques « fidèles » se disaient, « tiens-qu’a-t-il mis de neuf aujourd’hui ? «
Du neuf chaque jour
Car sauf le dimanche, l’exercice consiste bien à partager quelque chose de nouveau chaque jour avec vous. Comme un petit signe, une pensée, un billet, un édito… et ça peut devenir un petit rendez-vous, ne serait-ce que pour « penser à autre chose »…
Cette semaine des contenus divers proposés à votre curiosité !
J’ai commencé à mettre en ligne des poèmes regroupés sous le titre de « Rue des Pommiers ». Partagés en divers lieux et sites, ces poèmes ont tous été écrits entre 2011 et 2015 alors que je vivais dans le département des Hautes-Alpes.
du côté du Journal extime
- le 27 février, la journée était justement « numérique » avec des réflexions autour de la révolution numérique ou de la place du papier…
- le 28 février, je fêtais la fin du mois mais surtout avec l’espoir du printemps, celui que porte la jeunesse, cette jeunesse souvent critiquée et qui pourtant, je trouve, fait justement sa propre révolution, presque à voix basse, avec résolution…
- le 1er mars, je vous invitais à vous méfier du journal intime ! Un écrit qui peut avoir des conséquences pour… vos héritiers !
- le 2 mars, je vous parlais de cette nécessité dans laquelle je me trouve absolument : réapprendre la patience . Et ce n’est pas rien…
- Et le 3 mars, je suis allé au jardin où ça fleurit mais où là aussi des questions se posent face à ce petit bout de nature dont j’ai la responsabilité.
Ailleurs, j’ai relancé le site numérilibre.fr qui est un peu mon espace de réflexion et d’autoformation à propos du numérique, notamment libre…
Ailleurs le roman
Je continue le roman, avec ces épisodes plus difficiles pour moi non pas tant du point de vue de l’écriture que du ressenti : un de mes personnages est mort. C’est le deuxième, c’était prévu. Mais c’est curieux la couleur que peut donner à une journée, la mort d’un personnage aimé d’un roman que l’on écrit… mais du coup, je fus un peu plus lent…
Il faut pour les mille choses du quotidien que je retrouve le rythme de croisière et sorte de l’hibernation.
Mais à l’occasion, un peu de votre avis …
Si vous avez deux minutes, je lirai avec attention votre avis sur les publications du site. Ici en commentaire ou par courriel . Merci d’avance !
et si jamais cela vous intéresse, il est possible de s’abonner aisément, gratuitement et sans engagement en renseignant votre adresse mail au bas de la page….
Bon congé de fin de semaine !
